1 Poème des montées. De David. IHVH-Adonaï, mon coeur ne s’enfle pas; mes yeux ne se haussent pas. Je ne m’insinue pas dans des grandeurs et des merveilles de trop pour moi. 2 Mieux, je l’ai fait égal et silencieux, mon être, comme un nourrisson sur sa mère, comme un nourrisson sur moi, mon être.
3 Israël, souhaite IHVH-Adonaï, maintenant et en pérennité.
«Bonjour Sandrine,
Vous considérez cette réalité avec les dimensions qui nous sont familières : le temps et l'espace....» dans L'obstination des scientifiques
«Mysha
Vous citez: "...les éléments et les fondements de la terre..."
de Matthieu 5:18 ici de Chouraki: "...Amén, oui, ...» dans Être juif, c'est quoi ?